2016 : créateur du salon du livre de Montcuq en Quercy Blanc...
L'écrivain français entre dans l'histoire du Quercy Blanc en prononçant les premiers mots officiels...
Il sera suivi par Alain Lalabarde, maire (premier à gauche) Marc Gastal, vice-président du Conseil départemental,
et Catherine Ferrier, préfète du Lot, avant la remise d'une coupe et d'un livre à Jean-Louis Le Breton...
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2012, le grand public découvre enfin l'écrivain indépendant...
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En numérique : Le roman le plus lu de l'écrivain sur Amazon, Itunes |
Edito écrit en 2006... il a très bien vieilli ! (qui le trouverait peu judicieux ?)
Le « livre papier » a imposé des normes, des bornes : une seule forme (roman, essai, nouvelles…) et un thème.
Des professionnels, libraires, bibliothécaires, chroniqueurs, éminences ministérielles, exposent doctement : « Si vous sortez de ces exigences, la classification devient ingérable, un document doit s’insérer dans une catégorie facilement identifiable et répertoriée par les us et coutumes. » Il faut pouvoir ranger les bouquins !
Un jour le livre papier sera rangé, bien rangé, ne sortira presque plus des rayons et cartons. Des classiques aux nouveautés, tout sera numérisé. Et les écrits « libres de droits » (soixante-quinze ans après la disparition de leur auteur, ou avant conformément à sa décision) seront enfin accessibles gratuitement.
2006 est au coeur de la période de transition : la vie d’une oeuvre ne se limite déjà plus à sa lecture sur feuillets reliés ou aux « bonnes pages » reprises par un magazine : la version numérique peut circuler librement sur la toile. Certes nettement moins qu’une chanson. Simplement pour des raisons techniques : convertir un fichier musical numérique en fichier musical numérique allégé, genre MP3, aisément transmissible et lisible, se réalise en quelques clics quand scanner un livre exige, pour un résultat correct, de le désosser, détacher page par page… et il reste plus pratique d’écouter de la musique près d’un ordinateur, avec un son correct, ou graver un CD, la télécharger sur un Ipod, que de lire les caractères agressifs d’un écran, en position figée (imprimer des centaines de pages nécessitant un courage supérieur à la moyenne).
Je pratique la distribution des versions numériques depuis déjà des années, d’une manière sûrement prétendue marginale par des sommités... d’une manière me permettant... de continuer, d’en tirer des ressources nécessaires et suffisantes… grâce aux « droits dérivés », indépendants du texte, la communication de « liens commerciaux » aux internautes intéressés par mon catalogue automnes-hivers, printemps-étés (comédies-vers, romans-essais).
Pour vraiment continuer, l’écrivain doit vivre de ses écrits. Idéal rare ! Ainsi la majorité des installés paradent avec leur bibliographie de best-sellers mais cachetonnent les critiques et chroniques (naturellement ils encensent les auteurs de leur chapelle, leur éditeur).
Mes livres se vendent peu, mes écrits connaissent une audience nettement supérieure à celle de la majorité de mes presque confrères.
Texte extrait du livre publié en 2006 - pour toute utilisation, passez par la page contact...
Détail écrivain (acheter les livres du romancier en papier ou numérique)
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- le 15 janvier 2013 à 22 heures 46
par Paul : assez exceptionnele que ce texte ait été écrit en 2006, malheureusement, presque personne ne l'a lu...
Vous souhaitez devenir écrivain ? Bonne chance !
Ecrivain francais né en 1968
Forum :
déterminisme social en France 2020 : les gilets troués LIRE |
Ce n'est pas tous les jours facile : Publibook , société pratiquant le compte d'auteur
(ils veulent mettre TERNOISE EN PRISON - infos exclusives - Ternoise héros ou martyr !)
Naturellement, l'écrivain n'a jamais signé avec une société pratiquant le compte d'auteur, et comme bien d'autres il informe.
Donc déconseille le compte d'auteur.
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